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Espace de liberté.

30 janvier 2006

Le temps passe...

Gillou me faisait justement remarquer que cela faisait bien longtemps que je n'avais rien publié dans mon blog. Donc je vais vous en donner le raison:

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Je n'ai pas le temps, comme vous pouvez le constater...
Et puis, tjs le mémoire, la bibliothèque, la fac, et l'hiver triste et morne. Oh "il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville, quelle est cette langueur qui pénétre mon coeur..." Non blague à part, c'est promis, dès que je peux je prépare un truc terrible, genre: "le journal de bord d'une étudiante dans son placard" ou "Comment j'ai surmonté ma peur des poissons rouges" ou si vous avez d'autres idées...
Bref, à très bientôt, gros bisous.

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2 janvier 2006

Une nouvelle année, la fin d'une autre...encore

Bonjour et bonne et heureuse année à tous, et tralala...
Pour ma part, j'ai fêté la fin de l'année 2005 et le passage à l'année 2006 à Paris, près de la butte de Monmartre. A minuit, une petite escapade nocturne au pied du Sacré Coeur, quelques verres et un jongleur  de feu (merci Julien pour ce feu d'artifice improvisé parce que, hé oui, nous avons raté celui de la ville de Paris) nous ont mis le coeur à la fête.                           

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23 novembre 2005

Vive le wifi

Hé oui cela faisait bien longtemps...mais grace aux nouvelles prouesses technologiques je vous écris en direct de la fac avec le wifi! Etant donné que j'y passe une bonne partie de ma vie en ce moment c'est bien pratique. Malheureusement je n'ai plus beaucoup de temps pour mon blog donc je suis désolé de vous annoncer que je vais le laisser en suspent pendant quelque temps. Je m'occupe dès que je peux de retrouver internet at home, mais les papiers, démarches administratives prennent du temps alors...
A bientôt.

25 octobre 2005

De retour...enfin!

Bonjour tout le monde me revoilou sur la toile via le wifi, c'est beau le progrès et merci la région Centre pour les pc portable généreusement prêtés.
Voilà, en ce moment je suis à 10000 à l'heure parce que je suis dans une année décisive où je dois travailler (ce mot là ne faisait plus partie de mon vocabulaire depuis longtemps) à fond. Donc fini les fêtes, les nuits blanches et l'alcool. Au moins si je me plante dans mes étude, je serais fin prête pour la vie monacale!
Bon courage à tous les masters et thèsard...je compathie.

13 septembre 2005

Je n'ai plus internet...

...pour le moment! Mais ne desespéront pas, je vais harceller Neuf telecom pour le récupérer! En attendant, je vais bien, et prépare la rentrée, ainsi que les nombreuses fêtes de pré-rentrée.

Gros bisous à tous, à bientôt je l'espère.

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11 août 2005

Besoin d'inspiration

  Cette année scolaire, je me lance dans un master 1 de sociologie (mention ville et territoire), et je n'ai toujours pas trouvé le moindre sujet (si ce n'est celui qu'un ami m'a proposé, à savoir : "la domination des androgines dans les sociétés de Caribous du Cameroun mangeurs de cacahouètes" = bon évidement c'était à l'heure de l'apéritif!).
  Le fait de travailler à plein temps dans un milieu très pauvre en ouvertures culturelles (cf les autres messages du blog) a ,pour ainsi dire, eu un effet dévastateur sur mes neurones. La motivation, après une journée de dure labeur, n'est pas au rendez-vous, et j'ai à peine le courage de "légumer" sur mon canapé! Autant vous dire que pour ce qui est de refaire le monde, et bien il attendra! Bon il est quand même indéniable que le milieu dans lequel j'évolue cet été, offre un panel énorme d'enquêtes sociologiques (avis aux amateurs). Mais la perspective d'avoir comme terrain d'étude ce magasin n'est, et ne sera jamais, à l'ordre du jour.
  Bref, je n'ai plus la force intellectuel d'avoir la moindre inspiration sociologique et ça me fait flipper, car cette année est très dure a gérer, mais surtout décisive.
  Donc si quelqu'un avait un trop plein d'inspirations à partager, c'est le moment...

9 août 2005

Mais où sont donc les aoûtiens?!

...en vacances bien sûre, alors que d'autre restent ici à alimenter leur blog, parce que les vacances (si tout se passe bien) ne sont qu'en septembre!

Donc, pour répondre au titre du message, les vacanciers sont en Europe de l'Est pour la plupart, c'est très tendance cette année.

Mathilde part en Roumanie, J.B et Benoît sont pour trois semaines en Slovénie et Lola, Jo, Pedro, Vero... sont au festival de Siget en Hongrie dont voici un aperçu du séjour de folie qu'ils vont passer:

                   Du 10 au 17 août 2005, Île de Óbuda, Budapest, Hongrie de festivals

Dossier de presse

Sziget, ce n’est pas que le plus grand festival de musiques actuelles en Europe, mais d’abord une « ville dans la ville », une ambiance exceptionnelle sur l’île de Óbuda (Budapest) pendant toute une semaine : une movida post-socialiste mâtinée d’esprit festif et libertaire – le tout dans une organisation irréprochable, et des conditions de sécurité optimales. Son tarif est aussi l’un des plus démocratiques des festivals de l’été : 105 euros pour 400 concert.

Toutes les formes d’expression artistiques seront présentes, sur plus de vingt scènes disséminées sur l’île : grande scène internationale, scène WAN2, world, métal, tzigane, danse…. dans une programmation où chaque scène est complètement autonome. La musique, si elle est omniprésente, laisse aussi la place au cirque, à un important village associatif, au cinéma en plein air et aux activités ludiques et sportives.

Cette année encore, ce « festival de festivals » met l’accent sur le mélange des genres : du rock déjanté de Franz Ferdinand au reggae mondialement connu des Wailers, en passant par les sonorités d’Europe de l’Est et d’Afrique, sans oublier une sélection exceptionnelle d’artistes français et francophones.

Voici un premier aperçu des principales scènes du festival, en attendant la programmation définitive (prévue mi-mai).

LA GRANDE SCÈNE INTERNATIONALE

C’est la scène centrale de l’île, en plein air et la plus grande aussi, avec une capacité d’accueil de 60 000 personnes. Pour 2005, le plateau international consacre une large place aux groupes rock avec notamment les anglais de Franz Ferdinand, le garage punk des Suédois de The Hives, Korn groupe incontournable de la scène rock métal américaine, la sulfureuse actrice Juliette Lewis et le rock rageur de son groupe Juliette and The Licks, les Beatsteaks, combo allemand ayant fait l’ouverture des Sex Pistols, mais aussi la voix sombre de Nick Cave, accompagné du groupe qu’il a formé en 1993, The Bad Seeds, et Mando Diao formation pop rock inspirée des sixties dans le look que dans la musique. Deux autres groupes américains en tête des charts seront également de la partie : le post grunge américain de Good Charlotte et l’artiste hip-hop le plus attendu de l’année, venu tout droit de Californie : The Game.

Notez également la présence exceptionnelle de l’australienne Natalie Imbruglia, des anglais d’Underworld et de Morcheeba aux sons électro, trip-hop, ainsi que The Brand New Heavies qui feront groover le dancefloor! A signaler aussi le débarquement en force de la Jamaïque avec les non moins célèbres Wailers, anciens musiciens de Bob Marley, TOK, groupe venu tout droit de Kingston, et Roots Manuva, des anglo-jamaïcains qui feront vibrer les festivaliers sur des rythmes reggae, ragga dancehall, hip-hop, et de Sean Paul, la nouvelle star du dancehall de l’île des Rastaman.

Tandis que les 17 percussionnistes présents sur scène des Tambours du Bronx s’en donneront à coeur joie sur leurs bidons métalliques, ce sera aussi l’une des dernières occasions pour les fans de Ska-P d’applaudir et de danser sur le ska-rock du groupe espagnol avant la fin de leur dernière tournée!

dossier de presse Sziget p. 2

LA SCÈNE WAN2 : toutes les couleurs du rock’n’roll

Cette scène est sans doute celle qui propose la plus grande diversité musicale. Chaque journée consacre un thème différent. Cette année, la scène Wan2 sera marquée par une programmation française exceptionnelle avec la présence de Louise Attaque pour son grand retour sur scène, des Têtes Raides, groupe incontournable du rock à la française, Matmatah qui surfe avec brio sur une pop électrique teintée de rock, de funk et même de sonorités celtiques… N’oublions pas de citer la venue de The (International) Noise Conspiracy, groupe suédois qui mélange allègrement garage des 60’s, punk des 70’s, new-wave des 80’s et politique en un rock’n’roll agrémenté de pop et de soul, ou du groupe finlandais Giant Robot, rock garage des 60’s, le groupe australien Resin Dogs et son déroutant mélange de hip hop, funk et breakbeat , Hellacopters et son rock'n'roll incisif, représentant de la scène suédoise. A ne pas manquer non plus, les californiens de Fishbone qui continuent dans leur joyeux bazar fusionnel : rap, funk, rock épicé parfois même de ska, le groupe allemand Sportfreunde Stiller, et Wickeda, groupe-phare de la scène rock…bulgare !

LA SCÈNE WORLD : de l’Afrique aux Balkans

La deuxième plus grande scène du festival (30 000 personnes) donnera une place particulière à l’Afrique, avec les têtes d’affiche Youssou N’ Dour, Zap Mama, Mory Kante et Baaba Maal. Les maliens de Tinariwen, qui chantent l’histoire du peuple Touareg à coups de guitares électriques et d’instruments traditionnels, se présenteront pour la première fois en Europe centrale.

Le Raï, sera, quant à lui, représenté par ses plus belles voies : Khaled, bien sûr, désormais auréolé du statut de "world star", mais surtout la mythique Cheikha Rimitti, 80 ans, toutes ses dents et toute sa voix. On découvrira également sur la scène World des artistes du monde entier parmi lesquels Woven Hand, très énigmatique chanteur du groupe 16 Horsepower qui proposera une musique folk chargée en émotion, les très célèbres américains des Klezmatics et leur musique juive à la fois traditionnelle et moderne, Radio Mundial métissant rythmes cubain et musique de Brooklyn, ainsi que Manuel Guajiro Mirabal, du mythique Buena Vista Social Club, les italiens Enzo Avitabile & The Bottari qui mêlent raï et mélodies napolitaines et le collectif londonien Oi Va Voi où les influences hongroises, yiddish, balkaniques, ouzbek et arménienne surfent sur des courants musicaux survoltés, trip-hop ou ragga !

Sur cette scène également, les Français seront à l’honneur : Watchaclan, mélangeant influences africaines et orientales sur fond de reggae, ou Tarace Boulba, fanfare funk qui entraînera le Sziget dans une ambiance de fête, et enfin Les Hurlements d’Léo, groupe festif bordelais, véritable alchimie entre musette, énergie punk et son tzigane.

Puisque ce village mondial est en Europe centrale (et tient à y rester), seront aussi de la partie : les Tchèques de Neocekávany Dychánek, un mélange détonnant de musiques tchèque, Klezmer et des Balkans, le groupe polonais Tolhaje qui nous offrira un voyage musical dans lequel se mêlent la folk, le rock et le jazz. Sans oublier DAAu, formation belge à cheval entre pop, électronique subtile et une musique classique proche de Vivaldi, Ivo Papasov, clarinettiste bulgare le plus célèbre de son pays, les Roumains de Mahala Rai Banda où de belles voix traditionnelles s'unissent aux violons, trompettes et accordéons des fêtes tziganes pour se mêler avec énergie à des grooves urbains de batterie rock et des percussions orientalisantes. Bien sûr, participeront à la fête de nombreux artistes hongrois tels que la fabuleuse Mitsoura, une des plus belles voix de la musique traditionnelle tsigane, sans oublier les cuivres énergiques de Besh O Drom. Enfin, Parno Graszt et Csík Zenekar feront vibrer la tradition du violon tsigane dans sa pureté, tandis qu’Etnofon proposera une musique folk contemporaine qui tire ses racines du folklore hongrois.

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MÉTAL : des groupes mythiques !

Les fans de gratte électrique et de double pédale seront aux anges cette année avec la venue de l’un des premiers groupes de death, les américains d’Obituary, devenus au fil des albums une véritable référence en la matière. On attend également les heavy-métaleux d’Accept et de Brainstorm, représentants emblématiques du métal underground germanique, aux voix mélodiques et aux riffs agressifs, sans oublier les suédois de Meshuggah et d’Opeth aux influences heavy, death et black métal et Sentenced, le groupe-phare de black métal mélodique finlandais. Mais l’événement de la scène métal , c’est bel et bien la venue de Saxon, le plus grand groupe de la scène heavy métal britannique.

SCÈNE TSIGANE : l’Europe des Gitans, c’est par ici…

C’est toute l’Europe des Tsiganes, peuple aussi fascinant qu’insaisissable, qui sera invitée cette année à Sziget. La programmation de cette scène, à l’ambiance aussi survoltée que chaleureuse, s’ouvrira également aux autres musiques de l’Est et même aux fameuses « táncház » (« maisons de danse »). Les festivaliers pourront savourer sans modération les sons des cordes et des vents des meilleurs groupes tsiganes hongrois : Vodku v Glotku d’inspiration yiddish et russe, l’orchestre de Rajkó, aussi authentique qu’à l’époque de Liszt, la chanteuse Palya Bea et sa voix extraordinaire, le groupe Kék Lang, le feu et la finesse de Romano Drom et, avec Técsöi Banda, la musique traditionnelle de la Ruthénie subcarpathique. Le célèbre groupe Téka animera une des « táncház » pour faire danser même les plus boiteux. Seront aussi de la fête le groupe tchèque Cilagos et sa musique tsigane teintée de pop et Fatima Spar und die freedom fries, mélange délirant d’ influences de la Nouvelle-Orléans, de musique des Balkans, de musique orientale, de punk russe et de touches électroniques de drum'n'bass !

D’autres groupes tsiganes d’Europe centrale et des Balkans tireront également quelques larmes et rires du public, comme Loyko, le plus célèbres des groupes russes, la fanfare bulgare Karandila ou encore le violon fou de Paniks (Voïvodine) et le Taraf de Iagalo, petit frère du Taraf de Haidouks (Roumanie). Avec les Berlinois de Casino Gitano, c’est le kitsch et la folie qui s’empare des rythmes traditionnels, tandis Paulus Schäfer perpétue la tradition manouche de Hollande. Enfin, Martin Lubenov le virtuose bulgare de l’accordéon se produit pour la première fois en Hongrie.

Les Français seront bien représentés : les Perpignanais de Kaloomé (ex-Tekameli) avec une rumba qui se griffe aux accents du flamenco et de la musique arabe, côtoieront le très atypique Thierry „Titi" Robin avec Gulabi Sapera et Slonovski Bal, LA fanfare serbe de France.

ARENA DANCE HALL : de l’électro jusqu’à plus soif !

Pour les festivaliers insomniaques ou friands d’expériences nocturnes, il y en aura pour tous les goûts puisque la scène Arena proposera toute la semaine des sessions electro des djs les plus en vogue ! Parmi eux, le trio anglais X-Press 2 et l’américain DJ Rush qui feront dans la hard house hargneuse et efficace. Speedy J, venu des Pays-Bas, distillera un son résolument techno, les anglais LTJ Bukem & Mc Conrad, rois incontestables de la jungle, les français Play Paul et The Hacker, véritable star de la scène techno française et Luke Slater, maniaque du vynil feront exploser le dance-floor jusqu’à l’aube. S’ajouteront à tout cela un set house techno par le britannique The Advent, Timo Maas, précurseur de la scène techno allemande et Tiga, figure emblématique de la scène electro underground canadienne. Enfin, et pas des moindres, l’allemand Paul Van Dyk et sa trance qui porte vraiment bien son nom emporteront le public dans une danse ô combien frénétique !

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DANSE, CIRQUE, ARTS DE LA RUE… du monde entier

Sziget, ce n’est pas que de la musique! Cette année encore, une scène sera entièrement dédiée à la danse, au cirque et aux arts de la rue, histoire de décloisonner les barrières artificielles entre les arts.

En danse, Sziget propose une programmation à l’écoute des chorégraphes du monde entier : les célèbres Ballets C. de la B., de Gand, pour la première fois en Hongrie, constitueront l’événement de cette scène. Ils seront accompagnés par les danseurs hip-hop français de la compagnie Accrorap, des Israéliens Noa Dar & Sahar Azimi et des Cubains de Danza Combinatoria. La danse très physique de la Fabrikcompany (Allemagne) côtoiera la compagnie Flatfoot (KwaZulu Natal, Afrique du Sud), pour la première fois en Europe.

Les trois compagnies de référence de la danse contemporaine hongroise, particulièrement créative, seront elles aussi présentes : les compagnies Pál Frenák et Yvette Bozsik, sans oublier les fameux Ballets Contemporains de Szeged.

C’est sur cette scène également que se produira Yann Tiersen, que l’on ne présente plus…

Et enfin, pour être morts de rire entre deux spectacles, les lurons clownesques de la compagnie Tricicle (Barcelone) mélange de cinéma muet, de clown, de mime et de théâtre côtoieront le théâtre de rue musical de la compagnie française Dynamogène, qui déambulera sur toute l’île de Óbuda pendant cette semaine de fête.

ET AUSSI….

LE VILLAGE AFRICAIN accueillera des ateliers d’artisanat et de danse, et des shows de percussions. Cette scène offre surtout un coup de projecteur sur le son guyanais avec quatre groupes de reggae et de ragga de la région de St Laurent du Maroni : Prince Koloni, superstar de l'aléké, la musique néo-traditionnelle des jeunes Noirs Marrons, Energy Crew, section rythmique redoutable de quatre chanteurs, Spoity Boy, trois voix incantatoires portées par huit percussionnistes à l’incroyable énergie et enfin, le grand Chris Combette, dont le style unique mêle reggae, bossa, salsa et zouk.

De nombreuses autres scènes fonctionneront nuit et jour : la scène Talentum (les « découvertes » de Sziget), la scène Bahia (musiques underground et expérimentales), les scènes Blues et Jazz, la tente Ambient, la scène Pesti Est et la scène des danses et musiques traditionnelles….

Le célèbre collectif Cinetrip sera également présent, avec les meilleurs DJ et VJ de la scène hongrois, pour une expérience visuelle et sonore psychédélique.

Une myriade inépuisable d’autres activités anime l’île une semaine durant et permettent aux festivaliers de dialoguer et de se retrouver dans un autre contexte que les concerts : l’Agora des plasticiens, des activités ludiques et sportives avec entre autres la piscine installée sur le site du festival, un cinéma en plein air, des cours de danse et des défilés de mode, des stands d’artisanat et même une Université libre…

Enfin, les nombreux forums civiques qui regroupe des associations de citoyens de Hongrie et d'Europe centrale et le Magic Mirror, espace de rencontre et de dialogue des homosexuel(le)s de Hongrie et d'ailleurs sont des espaces essentiels de rencontres citoyens sur l’île - car Sziget, ce n’est pas qu’un festival, mais aussi, pendant quelques jours, une autre manière de vivre et de penser la communauté.

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De « l’île des étudiants » au plus grand festival d’Europe

Au début des années 90, Péter Müller et Karoly Gerendai, respectivement star de la scène rock locale et programmateur, découvrent l’Ile de Óbuda, un territoire militaire abandonné situé en plein coeur de Budapest, sur le Danube, et décide d’y créer un festival à ciel ouvert, dédié aux étudiants de l’Université technique de Budapest.

La première édition du festival en 1992 (Diàk Sziget : « l’île des étudiants ») consiste en un rassemblement libertaire qui réunit quelques centaines de jeunes hongrois avides d’événements culturels.

Fort de ce premier succès, le Sziget Festival connaît une expansion fulgurante : il ne tarde pas à devenir un festival unique en son genre, parsa programmation axée sur des artistes en provenance de toute l’Europe et en particuliers d’Europe de l’Est où se côtoient les populations serbe, croate, bosniaque, hongroise, russe, roumaine… et française.

En 1995, le festival draine déjà plusieurs dizaines de milliers de personnes. Il s’associe alors (temporairement) à Pepsi Cola, qui apporte les fonds nécessaires au financement de cette croissance, et devient « Pepsi Sziget ». Ce développement permet à Sziget d’élargir considérablement sa programmation (avec la venue de têtes d’affiche internationales comme, entre autres, Iggy Pop, Sonic Youth, Patty Smith…), d’asseoir sa légitimité sur la scène culturelle européenne et d’assurer sa promotion auprès du grand public et des autorités.

Aujourd’hui, Sziget accueille 400 000 festivaliers, dont plus de 5000 français, réunis pendant 8 jours autour d’une programmation variée et de qualité, concoctée par une vingtaine de directeurs artistiques.

20 scènes musicales, des dizaines de stands d’associations politiques, culturelles et citoyennes de toute l’Europe, sans oublier le cinéma en plein air et de multiples activités sportives dressent la géographie de cette nouvelle utopie musicale.

Une programmation française et francophone exceptionnelle

Au cours des dernières éditions, les groupes français, francophones et produits en France ont pris une place de plus en plus importante au sein d’un festival résolument engagé dans la défense de la diversité culturelle (ils étaient 9 en 2002, 12 en 2004 et seront une vingtaine en 2005), croissance qui va de pair avec la hausse de la fréquentation du festival par le public français (plus de 5 000 personnes en 2004.)

Grâce à l’aide de partenaires publics et professionnels (AFAA / Association Française d’Action Artistique, Afrique en créations, Bureau Export de la musique, FCM / Fonds pour la Création Musicale, SACEM, Agence Intergouvernementale de la Francophonie, Institut Français de Budapest), c’est une présence massive d’artistes français de groupes en développement qui est assurée en 2005 :

Musique : Les Tambours du Bronx, Louise Attaque, Les Têtes Raides, Matmatah, Yann Tiersen, Youssou N’ Dour, Zap Mama, Mory Kante, Baaba Maal, Tinariwen, Khaled, Cheikha Rimitti, Watchaclan, Tarace Boulba, Les Hurlements d’Léo, Thierry « Titi » Robin, Kaloomé, Slonovski Bal, Prince Koloni, Energy Crew, Fondering, Spoity Boy, Chris Combette.

Danse : Accrorap

Théâtre de rue : Dynamogène

Soit 400 artistes, 23 groupes de musique, une compagnie de danse contemporaine et une compagnie de théâtre de rue. Sans doute le plus important rassemblement d’artistes français et francophones de l’été en Europe !

Hébergement

Un camping gratuit est mis à la disposition de tous les festivaliers sur l’île de Óbuda. D’autres options d’hébergements existent, du 5 étoiles à l’auberge de jeunesse. New East propose en outre des packages incluant l’hébergement.

Renseignements : www.neweastfestival.com 0820 900 606 (0,12 €/min).

8 août 2005

Présentation

  Alors évidement, j'aurais peut être pu commencer par cela!
Bref, il n'est jamais trop tard pour bien faire, alors pour ceux et celles qui ne me connaissent pas, je vais tenter de faire une courte présentation de moi.
  Je suis une femme de 23 ans, qui vis depuis 4 ans, dans une ville que j'apprécie particulièrement: Tours. Je suis étudiante en sociologie (j'entame le master1), avec toutes les galères que cela implique : gérer les cours et le job, se laisser du temps à soi et à ses amis et éviter les conflits avec son banquier à la fin du mois (à vrai dire tout le mois).
Je me cherche encore et me pose beaucoup de questions du style "qu'est-ce que je vais faire quand je serai plus grande"! Je suis une fervente admiratrice de nouveautés dans de nombreux domaines tels que, la cuisine, la musique, les voyages, la littérature,...
Je ne sais que dire. Se décrire n'est pas chose aisée. Et puis je n'ai pas envie de rentrer dans une description "petite annonce matrimoniale".

7 août 2005

Une approche (touristique) de Tours.

Tours et ses milles et une facettes :

·        La Loire :

Eté comme hiver, les bords de la Loire sont tout simplement magiques. La rivière se transforme au fil du temps, des saisons et des humeurs des passants.

Les quais, situés au cœur du centre de la ville, vivent de jour comme de nuit. Une population très éclectique investie les lieux au grès des envies. Des gens de tous âges, des couples, mais aussi des joggers s’y baladent la journée, des chiens y promènent leurs maîtres. C’est au printemps et à l’automne que ce lieu révèle tous ces charmes, mais aussi à la tombée du jour. Le paysage vibre alors aux sons des percussions et autres instruments.

            L’été 2005 voit naître un visage différent des quais : une guinguette ! Du jeudi au dimanche, des concerts, bals,  spectacles, des projections de courts ou longs métrages y sont organisés, et tout cela gratuitement. Bref un esprit d’antan plein de convivialité, avec des musiques traditionnelles et actuelles.

                     

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·        La ville :

            Le vieux Tours regorge de petites rues pavées au détour desquelles la magie des bâtiments (époque médiéval, renaissance, XVIII ème,…) ne peut que vous envoûter. Il est nécessaire alors de vous laisser guider par votre inspiration, et de vous perdre à l’occasion, afin d’en savourer tout le plaisir.

Pour le reste, il serait bien trop long de décrire tout ce qu’il est possible de faire, de voir dans cette ville.

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·        Les jardins :

Un des nombreux avantages de Tours, sont les parcs et jardins situés au cœur de la ville (Jardin Botanique, Les Prébendes, Parc François Sicard,…). Ils permettent de s’y réfugier à tous moment de la journée. Les plus « sauvages » ou du moins ceux où les joies des roulades dans l’herbe est possible, sont l’île Simon, le parc Sainte Radegonde et les parcs aux abords du Cher.
Il existe aussi bon nombre de marchés et brocantes (Les Halles, le marché aux fleurs, Velpeau...). C'est un vrai bonheur pour les sens!
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·        La culture :

Il est presque impossible de s’ennuyer ici ! Avec ou sans argent, vous pouvez trouver des activités culturelles très variées. De nombreux festivals sont organisés tout au long de l’année.

Vous pouvez consulter les programmes disponibles gratuitement dans les bars, Office de Tourisme (rue Bernard Palissy, près de la gare) ou à la Maison des Associations (Place Plumereau).

Historique

La cité Gallo-romaine :                   
C'est au Ier siècle de notre ère qu'est mentionné pour la première fois le nom de Caesarodunum ("la colline de César"), nouvelle cité destinée à devenir le chef-lieu du peuple des Turons romanisés. Quelques témoins de cette époque sont visibles au nord-est de la ville, dans le quartier de la cathédrale : Mur du castrum du Bas Empire près de l'actuelle rue du Petit Cupidon, Poterne de la cité du Bas Empire donnant sur la Loire, au pied du Château royal, vestiges des thermes d'une habitation privée, Tour gallo-romaine, vestige de la première enceinte (cour du Musée des Beaux-Arts), Souterrain du Musée des Beaux-Arts (visites sur demande).

Naissance et rayonnement d'un nouveau centre urbain    :
Le Châteauneuf de Saint Martin    

Dès le IVème siècle, le rayonnement de Saint Martin, évêque de Tours, puis le culte fervent de ses reliques dans la chapelle construite sur son tombeau, suscitent la création d'un nouveau centre d'activités. L'édifice construit par la suite devient un des hauts lieux du christianisme occidental. Des multitudes de pèlerins se pressent vers ce qui est alors un des plus grands sanctuaires du monde chrétien, assurant à la ville renommée et prospérité.

La capitale de fait du royaume :      
Au XIV e siècle, la ville unifiée (Cité et Châteauneuf) connaît un nouvel essor. Du milieu du XV e à celui du XVI e siècle, la ville devient l'asile de la royauté en péril, puis le siège de sa puissance retrouvée. Charles VII, Louis XI, Charles VIII, Louis XII et François Ier reviennent toujours avec prédilection dans la ville où se trouvent leurs principaux ministres et conseillers. L'industrie de la soie est florissante (800 maîtres, 6000 compagnons). Elle est favorisée à son origine par Louis XI qui implante le premier groupe de fabricants soyeux. La vente des étoffes se faisait place FOIRE LE ROI lors de 2 grandes foires annuelles de 15 jours, en Mai et en Septembre.

   

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Berceau de la première renaissance française :   
Tours porte encore aujourd'hui les signes d'un essor artistique sans précédent. De nombreux chefs d'oeuvre de cette époque sont toujours visibles comme le tombeau du dauphin et de son frère, le sommet des tours de la cathédrale, les vestiges du cloître SAINT-MARTIN, les hôtels GOUIN et BABOU de la BOURDAISIERE.

L'époque Classique, les grands travaux du XVIII e siècle : le nouveau cadre urbain
Le célèbre intendant de l'administration royale, François Pierre du CLUZEL, mène la principale transformation urbaine avec le nouvel axe méridien de la ville, perpendiculaire à la Loire, alors que l'ancien lui était parallèle. La ville est traversée en son milieu du nord au sud par une artère de plus de 6 Km; percée de la Tranchée dans le coteau de Saint-Symphorien, construction d'un pont neuf, appelé aussi Pont de Pierre et aujourd'hui Pont Wilson, création de la rue Royale (rue Nationale) rejoignant la levée de Grammont (avenue de...) et l'actuelle sortie sud de la ville à travers la vallée du Cher.

Le Vieux Pont          
  Dans les temps anciens le passage de la Loire posait toujours problème. Il ne pouvait s'effectuer qu’avec des bacs. L'étape suivante a été de faire supporter une passerelle par des barques. Grégoire de Tours signale l'existence de cette solution à son époque (VIème siècle). Elle pouvait s'avérer dangereuse quand le courant du fleuve emportait les barques et les personnes qui traversaient à ce moment là.         
En 1034, le Comte de Blois et de Tours, engage la construction d'un Pont. Il l'exempte de péage, ce qui est rare pour l'époque et chagrine sans doute le Chapitre de l’Abbaye Saint Martin qui possédait les péages des ponts et passerelles de la ville de Tours et des environs.
  Ce pont est placé dans l'axe de la voie Romaine et comporte des éléments à la fois en bois et en pierre. Il possède vingt trois arches qui ne sont ni bien alignées ni de même hauteur. Ainsi entre la huitième et la neuvième arche les moines de Marmoutier avaient fait construire la chapelle Saint Ciquault, il y avait également des ouvrages militaires à plusieurs endroits et en particulier à sa jonction avec le Château.          
En fonction des crues (ou d'autres évènements) le Pont est fréquemment remanié, ainsi pendant l'hiver 1407-1408 une partie de l'ouvrage est emportée par la crue et les glaces. A partir du milieu du XVème siècle les modifications sont faites en pierres. Au XVIIème siècle il finit par être complètement bâti en pierre.    
Le Pont a rendu de bons et loyaux services pendant sept siècles jusqu'au milieu du XVIIIème siècle où le nouveau pont construit en aval, à l'ouest, se substitue à lui. Le vieux pont tombe alors en désuétude.       
  Depuis quelque temps une passerelle piétonnière (le pont de fil) traverse la Loire en suivant, à peu de chose près, le tracé de l'ancien pont. On peut d'ailleurs apercevoir des restes
 de celui-ci au moment des basses eaux, en été.
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Assouvir les besoins primaires à Tours :

Boire

Les Cafés :

La ville de Tours regorge d’endroits où l’on peut se désaltérer et plus si affinités (attention, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération). Agoraphobes, anti-touristes et anti-fashion victime area oubliez la fameuse place Pumereau l’été.

  • La Cabane, ambiance et musique sympas, sans oublier le Cidre à la pression. 87 rue du Commerce (02.47.20.76.47).

  • Les Trois Orfèvres, café concerts, dancing, tremplins…6 rue des Orfèvres (02.47.64.02.73).

  • Le Café du vieux Mûrier, ambiance feutré dans un décor Belle-époque. Le Chocolat Viennois y est tout simplement fameux. 11 pl. Plumereau (02.47.61.04.77).

  • Les Trois Pvcelles, très fréquenté par les étudiants des Tanneurs en période scolaire et pour cause : le café est à 1€ et servi avec un verre d’eau. L’odeur du tabac à Narguilé embaume la place, c’est un bonheur. Vous y trouverez milles et une saveurs de sirops, thés et tabac et pour pas très cher ! Ouvert le dimanche.19 rue Briçonnet (02.47.20.67.29).

  • Les Joulins, ambiance caraïbes et sable chaud sur un son salsa, merengue, bossa nova. Ce bar ferme plus tard que la plupart des autres (vers 3-4 heures) et vous aurez peut être la chance de bénéficier (comme moi) d’un cours de danse particulier avec le serveur ! Place de l’esplanade de la fac des Tanneurs.

  • Le Café, c’est le lieu chébran du moment. Musique electro et déco design. 33 rue Bretonneau.

  • Le Bistrot 64, c’est terrible ! Ambiance ginguette d’antan, mélange art-déco, très bon jazz, tout y est. Rue du Grand Marché.

  • Le Café des Arts, 7 rue Constantine (02.47.66.40.51).

  • L’Apostrophe’Café, dédicace spéciale pour Benoît ! C’est un repère de vieux loups de Picon, dont le patron, plutôt sympas, est un fan de Franck Zappa. 2 rue des Fusillés (à coté de la place de la Résistance), (02.47.05.51.44).

  • Le Sans-gêne, le bar où le demi est à 1,50€ !!! rue Jules Charpentier.

  • Le Gambrinus, un des lieux de pèlerinage des fans de bonne bière Belges. Il propose une carte de bières (à la pression et en bouteille) impressionnante ; le petit plus c’est le billard au fond de la grande salle. Un magasin, situé juste en face (au n°72) vend les même bouteilles qu’au bar, ainsi que des verres et accessoires. 69 bis rue Blaise Pascal (02.47.05.17.00).
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Manger

Les sandwichs et Kebabs :

  • Mangez-moi, sandwichs (kebab, merguez, poulet, végétarien…), barquettes et assiettes (poulet au curry, tandori, brochettes d’agneau …) avec nan (pain indien) et de nombreuses sauces (menthe, blanche, banane, forte…). C’est l’endroit où manger (rapidement). Tours paraîtrait bien différente sans cet endroit ! A partir de 3.50€. 10 pl. du Grand Marché (0247645686).

  • Milano Pizza, pizza, paninis, fajitas à emporter, livraison gratuite sur Tours, La Riche, Saint-Cyr (à partir de 7.50€) ou à déguster sur place. Ouvert 7 jours sur 7 de 11h à 14h 30 et de 18h à 23h. De 6€ à 18€ la pizza, 30 pl. du Grand Marché (02.47.05.04.07).

  • Pyramide, Kebabs, paninis.48 rue du Grand Marché (0247760176)

  • Les Délices du Fournils, les rois de la viennoiserie et pâtisserie industrielles ! Ouvert tous les jours et jusqu’à tard, c’est pratique lorsque l’on a oublié de prendre du pain. Les sandwichs sont variés et bons, mais en plus ils ne sont pas chers ! Conseil : la formule étudiante, un sandwich + une boisson et le Carambar cadeau à 2.50€ ! rue du Grand Marché.

Les restaurants :

Voici une sélection (exhaustive) de restaurants abordables, avec des menus copieux à partir de 9.50€, et repas à la carte.

  • L’Auberge Gauloise, le personnel y est très agréable et vous sert l’apéritif avec des produits régionaux tels que de la saucisse sèche, des olives… Savourez en cette occasion leur fameuse « potion magique ». Restaurant idéal en hiver surtout, car il propose de délicieuses raclettes, viandes en sauces (goûtez le magret de canard au miel), le tout dans un décor digne des banquets de la B.D Astérix et Obélix. Les prix y sont raisonnables, et vous en auraient pour votre argent ! 21 rue de la Monnaie (02.47.61.70.35).

  • L’Irish Compagny, des plats variés (croque-monsieur, salades, choucroute, moules frites, steak…) à tous les prix. Service continu jusqu’à 23 heures. Place Plumereau.

  • Comme Autrefouée, repas typique autour des fouasses. 11 rue de la monnaie (02.47.05.94.78).

  • Le Bœuf Salade, cuisine traditionnelle. Les prix sont très abordables, mais c’est quelque peut bruyant, à éviter pour un dîner romantique. 19 rue du Grand Marché (02.47.56.56.73).

  • Le Grill du Roy, menus à moins de 10€ ou moins de 15€ pour une entrée, un plat de résistance et fromage ou dessert. C’est copieux et bon. Seul bémol : le week-end et en saison touristique, les légumes variés qui accompagnent les viandes sont remplacés par des frites surgelées ou du riz. 16 rue du Grand Marché (02.47.20.70.15).

  • Le Raja, restaurant indien, avec un menu étudiant valable la semaine midi et soir (ce qui est rare). Cet endroit est plein de surprises. En effet,  la qualité de la cuisine et du service varie selon l’humeur du moment ! Néanmoins, les plats indiens (en général) sont surprenants, c’est un délice pour les papilles. 16 Rue Bretonneau (02.47.05.30.27).

  • Le Zinc, un délice pour les sens !!! C’est un peu cher, mais vous ne le regretterez pas, car les plats sont tout simplement succulents et raffinés. De plus, on vous sert relativement tard le week-end, ce qui n’est pas forcement le cas dans tous les restaurants. Place du Grand Marché.

  • La Cabane de Romulus, pizzeria, restaurant italien où la carte est tellement importante que l’on ne sait quoi choisir, mais ce n’est pas un problème parce que tout est à goûter, c’est trop bon ! Pour un dîner romantique c’est l’idéal. Le décor est somptueux grâce à l’architecture du bâtiment et aux bougies sur la table. Rien ne manque si ce n’est un compagnon pour dîner et qui vous invite en plus ! Rue Briçonnet.

  • Le Turon, cuisine traditionnelle régionale avec un menus à partir de 14,50€, fermé le dimanche soir, le lundi et mardi midi. 94 rue Colbert (02.47.66.14.25).

  • Le Chien Jaune, le décor façon bistrot parisien vaut le détour, n’oubliez surtout pas de visitez les toilettes ornées de mosaïques. Il propose un large choix de vin au verre. Rue Bernard Palissy, face au Vinci.

Dormir

De nombreux hôtels existent à Tours. Comme dans toutes les villes touristiques, les prix augmentent en saison estivale, néanmoins il reste d’autres moyens d’hébergements :

  • Chambres et appartements (meublés ou non) : de nombreux étudiants gardent leurs logements l’été mais n’y résident pas, ou bien ils sont en transite entre deux appartements en raison des préavis qui peuvent se chevaucher. Il est donc possible de sous-louer ces logements en été. Malheureusement, ces arrangements sont basés sur le bouche-à-oreille et la confiance.
  • Campings : il n’existe aucun camping à Tours même, mais dans les agglomérations limitrophes. Contactez l’Office de Tourisme de Tours.
  • Camping sauvage : toléré, mais officiellement interdit. Les rives de la Loire offre un paysage charmant pour camper, à condition de respecter les lieux, la nature et les autochtones.

5 août 2005

J'en ai assez!!!

Compte rendu très bref de mon job dans la vente de chaussures:

  • harcellement moral à outrance
  • hypocrisie
  • politique de la direction : diviser pour mieux règner
  • racisme
  • intolérance
  • sexisme
  • homophobie
  • non respect de l'intégrité des individus
  • non respect des clients

Bref, les employées sont au bord de la crise de nerfs. Certaines viennent au travail la peur au ventre (à cause des réflexions non fondées et arbitraires) et pleurent lorsqu'elles rentres chez elles! Mais à part cela tout va bien dans le meilleur des mondes!
Ma mission, si je l'accepte, est de survivre 39 jours... en ayant le moins de séquelles possibles. Mes seules armes disponibles sont le courage, la force (pour lutter contre le côté obscur) et les anti-dépresseurs.

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